
INJUSTICE : NON LIEU POUR VERAN, BUZYN ET PHILIPPE | GPTV
Le 9 juillet 2025, Mike Borowski vous proposait un direct explosif sur Géopolitique Profonde.
Non-lieu covid : l’immunité d’État actée par la Cour de justice de la République
La Cour de justice de la République (CJR) a tranché : Agnès Buzyn, Olivier Véran et Édouard Philippe ne seront jamais jugés pour leur gestion du Covid-19. Poursuivis depuis 2020 pour mise en danger de la vie d’autrui et abstention volontaire de combattre un sinistre, ils bénéficient d’un non-lieu total.
Une décision autant politique que judiciaire, qui acte l’impunité structurelle des élites d’État. Malgré les morts, les mensonges et les traitements indignes, aucun responsable ne sera traduit devant un tribunal.
L’argument central repose sur la fiction selon laquelle ces ministres auraient « pris de nombreuses initiatives » face à la pandémie. Le non-lieu, requis dès mai par Rémy Heitz, procureur général près la Cour de cassation, annonçait déjà la fin de l’illusion.
Aucune mise en examen. Aucun procès. Aucun débat public. Rien. Un simple parapluie judiciaire déployé pour couvrir les décisions politiques les plus coercitives jamais imposées en temps de paix.
La CJR verrouille le système
La CJR est une anomalie démocratique, conçue pour que les ministres échappent au droit commun. Majoritairement composée de parlementaires, elle fonctionne comme un organe d’autoprotection. Elle a rarement condamné.
Dans ce dossier, elle a même refusé une véritable instruction. Les plaintes de médecins, associations et familles de victimes ont été balayées comme des poussières sur le marbre du pouvoir.
Les juges n’ont pas cherché à savoir pourquoi le Rivotril a été injecté massivement dans les Ehpad, ni pourquoi les masques ont été refusés aux soignants. Ils ont ignoré la destruction du stock stratégique, l’incompétence des autorités sanitaires, les décisions prises contre l’avis des soignants.
Tout a été justifié au nom de « l’urgence » et de la supposée « bonne foi » des gouvernants. Cette bonne foi devient désormais synonyme d’impunité.
Non-lieu covid et doctrine d’État : quand le mensonge devient loi
Ce non-lieu n’est pas fondé sur une vérité juridique, mais sur une doctrine d’État : tout ce qui a été décidé en période de crise est soustrait au jugement. La pandémie a servi de prétexte à un régime d’exception : confinements arbitraires, propagande, censure, restrictions absurdes… dans une impunité totale.
Plutôt que d’en tirer des leçons, le système officialise la possibilité de recommencer. Il sanctuarise l’idée qu’un ministre ne peut être tenu responsable, même en cas de fautes lourdes.
Cette décision clôt symboliquement la phase judiciaire de la crise du Covid-19. Elle valide le récit officiel, efface les erreurs et interdit toute remise en question. Les victimes n’auront pas de procès. Les familles n’auront pas de vérité. La justice protège désormais le pouvoir, pas le peuple.
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