📣 E­nquêtes criminelles présente 2 minutes pour comprendre - 2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Affaire Dany Leprince : peut-il être innocenté du quadruple meurtre ?

Le 7 avril 2004, Jonathan Coulom, dix ans et demi, disparaît de sa classe de mer à Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique). Il faut attendre le 19 mai, plus d'un mois après la disparition, pour retrouver le corps de Jonathan Coulom dans un étang à Guérande, à 30 kilomètres du centre de vacances. Le corps est ligoté en position fœtale, lesté d'un parpaing. Cette macabre découverte donne plus d'éléments aux enquêteurs. Car cet étang est invisible depuis la route et est peu connu des habitants de la région. Le tueur serait-il un riverain ? Voire marin ? Les nœuds qui ligotent le petit garçon sont en effet parfaitement réalisés. Plus étrangement encore, l'affaire présente des similitudes avec celles d'un tueur en série allemand surnommé "l'homme en noir", soupçonné d'avoir enlevé et tué plusieurs enfants entre 1992 et 2001. Réal : Cyrielle Adam Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Retrouvez l’ensemble des épisodes du podcast 2 minutes pour comprendre de RTL ici2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Affaire Dany Leprince : peut-il être innocenté du quadruple meurtre ? Trente ans après les faits, Dany Leprince a été entendu jeudi 12 décembre par la Commission d'instruction de la Cour de révision à Paris, seul organe qui peut innocenter celui qui est surnommé "le boucher de la Sarthe". Dany Leprince a été condamné en 1997 pour le quadruple meurtre de son frère, de sa belle-sœur et de deux de leurs filles. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Hermine Le Clech du 13 décembre 2024.

Le 7 avril 2004, Jonathan Coulom, dix ans et demi, disparaît de sa classe de mer à Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique). Il faut attendre le 19 mai, plus d'un mois après la disparition, pour retrouver le corps de Jonathan Coulom dans un étang à Guérande, à 30 kilomètres du centre de vacances. Le corps est ligoté en position fœtale, lesté d'un parpaing. Cette macabre découverte donne plus d'éléments aux enquêteurs. Car cet étang est invisible depuis la route et est peu connu des habitants de la région. Le tueur serait-il un riverain ? Voire marin ? Les nœuds qui ligotent le petit garçon sont en effet parfaitement réalisés. Plus étrangement encore, l'affaire présente des similitudes avec celles d'un tueur en série allemand surnommé "l'homme en noir", soupçonné d'avoir enlevé et tué plusieurs enfants entre 1992 et 2001. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

L'affaire des mystérieux empoisonnements débute en 2017 lorsque Jean-Claude Gandon, 70 ans, fait successivement deux arrêts cardiaques lors d'une simple intervention chirurgicale. S'il parvient à être réanimé, c'est grâce à l'anesthésiste Frédéric Péchier qui lui administre un remède salvateur. Seulement, pour les policiers, cette intervention providentielle est suspecte. Depuis dix jours, ils enquêtent dans le plus grand secret au sein de l'établissement : ces accidents opératoires réguliers cacheraient en réalité des cas d'empoisonnement. Adulé par certains, critiqués par d'autres, Frédéric Péchuer, qui clame son innocence, fait figure de principal suspect. Il a décidé de s'exprimer dans "Enquêtes Criminelles". Réalisation : Adrien Cadorel. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

L'affaire des mystérieux empoisonnements débute en 2017 lorsque Jean-Claude Gandon, 70 ans, fait successivement deux arrêts cardiaques lors d'une simple intervention chirurgicale. S'il parvient à être réanimé, c'est grâce à l'anesthésiste Frédéric Péchier qui lui administre un remède salvateur. Seulement, pour les policiers, cette intervention providentielle est suspecte. Depuis dix jours, ils enquêtent dans le plus grand secret au sein de l'établissement : ces accidents opératoires réguliers cacheraient en réalité des cas d'empoisonnement. Adulé par certains, critiqués par d'autres, Frédéric Péchuer, qui clame son innocence, fait figure de principal suspect. Il a décidé de s'exprimer dans "Enquêtes Criminelles". Réalisation : Adrien Cadorel. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Il est 17h30, en cette veille de Pentecôte 1995, lorsque le corps sans vie de Stéphanie Fauviaux est découvert par sa colocataire Karine et deux de ses amis étudiants. La jeune fille de 18 ans est immergée dans la baignoire de son studio, noyée, étranglée et brulée au visage. Pendant des années les fausses pistes vont s'accumuler mais en 2012 l'enquête va connaître un extraordinaire rebondissement. Grâce aux progrès de la science, un autre ADN va être isolé. Il est localisé sur le peignoir de la victime. Au commissariat, le suspect va enfin parler. L'ADN retrouvé est celui de Lylian Legrand, 42 ans, père de deux enfants. Et, chose incroyable, l'homme est un gradé de la gendarmerie de Nice. Mais il y a plus extraordinaire : il n'est autre que l'un des trois étudiants qui avaient découvert le corps en 1995... Réal.: Nicolas Deliez Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Il est 17h30, en cette veille de Pentecôte 1995, lorsque le corps sans vie de Stéphanie Fauviaux est découvert par sa colocataire Karine et deux de ses amis étudiants. La jeune fille de 18 ans est immergée dans la baignoire de son studio, noyée, étranglée et brulée au visage. Pendant des années les fausses pistes vont s'accumuler mais en 2012 l'enquête va connaître un extraordinaire rebondissement. Grâce aux progrès de la science, un autre ADN va être isolé. Il est localisé sur le peignoir de la victime. Au commissariat, le suspect va enfin parler. L'ADN retrouvé est celui de Lylian Legrand, 42 ans, père de deux enfants. Et, chose incroyable, l'homme est un gradé de la gendarmerie de Nice. Mais il y a plus extraordinaire : il n'est autre que l'un des trois étudiants qui avaient découvert le corps en 1995... Réal.: Nicolas Deliez Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Le 21 juillet 1999, Beatriz Vidaror, l'épouse du biologiste Charles Missenard est hospitalisée dans la clinique de son mari au Luxembourg. Alors que son état est stabilisé, Beatriz se met à convulser. Son décès est déclaré deux heures après. L'autopsie, d'abord refusée par Charles Missenard, met au jour les circonstances de la mort de sa femme : Beatriz a été empoisonnée au cyanure par intraveineuse. Or, c'est le biologiste lui-même qui a préparé et posé la perfusion de Beatriz. Alors, le scientifique est-il coupable de féminicide ? Un épisode réalisé par Virginie Hénaff. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Le 21 juillet 1999, Beatriz Vidaror, l'épouse du biologiste Charles Missenard est hospitalisée dans la clinique de son mari au Luxembourg. Alors que son état est stabilisé, Beatriz se met à convulser. Son décès est déclaré deux heures après. L'autopsie, d'abord refusée par Charles Missenard, met au jour les circonstances de la mort de sa femme : Beatriz a été empoisonnée au cyanure par intraveineuse. Or, c'est le biologiste lui-même qui a préparé et posé la perfusion de Beatriz. Alors, le scientifique est-il coupable de féminicide ? Un épisode réalisé par Virginie Hénaff. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Samedi 28 décembre 1996, dans le sud de la Bourgogne. Il est midi quand le facteur de la petite commune de Blanzy aperçoit, un corps, sur le bas-côté d'un chemin de terre desservant une ferme isolée. Le cadavre d'une jeune femme allongée dans le givre, face contre terre. Elle s'appelle Christelle Blétry, elle a 20 ans et voulait devenir puéricultrice. Son agresseur ne lui a laissé aucune chance de survivre, il l'a massacrée de 123 coups de couteau. Alors pourquoi un tel acharnement sur une jeune femme à qui tout souriait ? Que s'est-il passé en cet hiver 1996 au bord de ce chemin ? Un épisode réalisé par Emmanuel Perez Zabala. Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.