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C dans l'air l'invitée du 18 février : Anne-Laure Barral est journaliste à la cellule investigation de Radio France
Hier, le groupe Stellantis a annoncé avoir demandé à 236.900 clients Citroën de ne plus rouler, jusqu'au remplacement de leurs airbags. Les véhicules concernés par ce rappel sont situés au nord d’une ligne Lyon-Clermont-Ferrand et ont été immatriculés entre 2008 et 2013. Ces véhicules sont équipés d'airbags de marque Takata, susceptibles de causer de graves blessures et auraient déjà provoqué la mort de plus de 15 personnes, selon les informations de Radio France. Citroën et DS avaient déjà lancé une campagne d’immobilisation début 2024 en France, qui concernait le sud du pays et l’outre-mer.
La décision de commencer les rappels par ces régions avait été prise « sur la base de critères de chaleur et d’humidité des climats sur le long terme », soit les deux facteurs qui endommagent ces airbags. Le scandale Takata, qui a éclaté en 2014, avait mené le fabricant japonais à la faillite. Volkswagen, Nissan, BMW ou Toyota, entre autres, ont rappelé des millions de véhicules équipés de ces airbags dangereux, avec des campagnes de rappels encore en cours aujourd’hui.
Anne-Laure Barral, journaliste à la cellule investigation de Radio France, reviendra avec nous sur cette affaire des airbags défectueux, et sur la façon dont l'industrie automobile et les autorités ont réagi à l'affaire. Et sur les raisons pour lesquelles le groupe Stellantis annonce maintenant ces immoblisations de véhicules.
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