Trouver sa voie dans le no-code, avec Stanislas Verjus

Quand une entreprise commence à se développer, elle peut avoir peur de perdre la compétence liée au système qu'elle a développé en no-code. Freelances, CDI, agences, process, documentation... Dans ce 11ème numéro de No-Code Talks, Pierre Simonnin et ses invités Claire Champourlier et Alexandre Talon reviennent sur les solutions et bonnes pratiques pour sécuriser son système et ses compétences.

Dans ce dixième numéro de "No-Code Talks avec Pierre Simonnin", on parle la communauté no-code. Car on en parle beaucoup, mais c'est quoi exactement ? Avec mes invité·es Stanislas Verjus, Amandine Dugrain et Alexis Kovalenko, qui ont tout trois largement contribué à la structuration de la communauté francophone, nous revenons sur : L'événement No-Code Week, qu'ils ont organisés à Cologne Le lien des éditeurs no-code avec la communauté Les nombreuses communautés localisées (autour d'un outil, d'une région, d'un acteur économique...) L'histoire de la communauté No-Code France Les membres, la dynamique et les enjeux de la communauté no-code

Nous sommes de plus en plus nombreux·ses à nous prendre au jeu (un peu, beaucoup, passionnément) des outils no-code. Mais professionnellement, ça donne quoi ? Comment ces compétences nouvelles se déclinent-elles dans le monde du travail ? Quels débouchés existent pour les no-codeuses et no-codeurs ? Stanislas Verjus est la personne idéale pour discuter de tout ça : non seulement il a fait 1000 métiers différents dans l'écosystème no-code, mais il a également, pour son documentaire "Révolution No-Code" (qui sort la semaine prochaine, jeudi 12/10/2023), rencontré des profils et des histoires variés. Ensemble, nous explorons les routes qui s'ouvrent (ou pas) devant les no-codeuses et no-codeurs, et la manière de trouver celle qui nous correspond le mieux. Prêt·es à parler freelancing, CDI, apprentissage, entrepreneuriat, formation et choix de carrière, le tout sans langue de bois ? C'est parti !

Le no-code est de plus en plus plébiscité par les entreprises, petites et grandes. Mais comment, concrètement, peuvent-elles franchir le pas ? Doivent-elles avancer en interne uniquement, ou s'appuyer sur des ressources externes ? Se reposer sur des référents no-code dans l'entreprise, ou permettre à chacun·e de mettre la main à la pâte ? Avec Laurène Watrelot, Head of Customer Success chez Graneet, nous croisons nos avis et expériences d'employée et de freelance pour aborder ensemble les questions à se poser, les bonnes pratiques, les pièges à éviter, la collaboration, l'organisation, la formation, la maintenance… Tout ça à travers trois grandes parties :I. Le no-code est-il fait pour ma boîte ?II. Comment déployer les outils no-code dans mon entreprise ?III. Utiliser et faire évoluer mes outils no-code au quotidien N.B. : la qualité audio étant anormalement mauvaise sur cet épisode, je vous conseille de regarder plutôt la version vidéo, qui sera plus confortable : https://youtu.be/_LlDxg4E91Y

Cette année a été extrêmement chargée pour le mouvement no-code : entre la montée en puissance du mouvement jour après jour, l'explosion de l'IA, les différentes stratégies des éditeurs, la cohabitation d'un foule toujours plus hétéroclite sur les mêmes outils (citoyen·nes lambda, makers, petites entreprises, grands groupes...), le spectre du vendor locking (la dépendance à un éditeur)... Ce ne sont pas les sujets de débat et d'interrogation qui manquent ! Mais finalement, qu'est-ce que tout ça veut dire pour le mouvement no-code ? Quels sont les écueils, opportunités et dilemmes pour nous, no-codeuses et no-codeurs ? Pour clore la première saison de No-Code Talks, qui de mieux que l'incontournable Alexis Kovalenko (fondateur de No-Code France et de Contournement) pour discuter avec moi de ce sujet ? Un échange riche autour des tendances actuelles du mouvement et des évolutions à venir : professionnalisation, démocratisation, pricing, "Enterprise", IA, open source...

Dur dur, quand on est freelance, dans vivre en accord avec ses valeurs au quotidien... Parce qu'il faut bien vivre, on se retrouve souvent en pleine dissonance cognitive, entre notre volonté de rendre le Monde meilleur et la nécessité de gagner sa vie. Un équilibre d'autant plus difficile à trouver quand on débute... Mais impossible, pour autant, de s'asseoir sur nos valeur personnelles, qui font partie intégrante de notre identité. Alors, comment faire cohabiter son activité de freelance avec ses valeurs ? Pour en discuter, je reçois Elise Reichardt, une collègue freelance, membre bien connue de la communauté Airtable francophone, et cofondatrice de La Chaise à Bascule, un collectif no-code au services des organisations engagées. On y parlera de choix, d'équilibre, et des acteurs incontournables que sont NoCode for Good, Latitudes ou encore Social Declik. Vous aussi, vous avez envie de conjuguer les possibilités du no-code à votre besoin d'avoir un impact positif ? C'est par ici !

Les DSI ne se sont pas précipitées sur les outils no-code, mais ceux-ci ont fait leur entrée en entreprise par la petite porte : celle du shadow IT (l'utilisation individuelle en entreprise d'outils non proposés par la DSI). Aujourd'hui, les outils no-code sont au cœur de nombreux enjeux en entreprise. D'une part, ils font peser un risque de sécurité s'ils sont mal utilisés, et d'explosion de la complexité des systèmes (où chacun construit un mini SI dans son coin). Mais d'autre part, ils donnent enfin la possibilité de donner la main aux métiers pour développer les outils dont ils ont besoin, et ainsi diminuer drastiquement le temps nécessaire pour disposer d'un système viable et utile à tou·tes. Mais cela ne peut pas se faire sans changement de la part des DSI, qui doivent adapter leurs effectifs et leurs pratiques à ces nouveaux usages. Ainsi que de la part des éditeurs d'outils, qui doivent répondre aux exigences en termes de fonctionnalités et de sécurité de ce nouveau marché. In fine, quel impact ce virage "Enterprise" pris par de plus en plus d'outils no-code (Airtable, Make, Notion...) aura-t-il sur l'écosystème ? Complexification des outils, augmentation de prix, émergence de versions différenciées Enterprise/grand public... Les changements en cours peuvent-ils couper des outils populaires d'une partie de leurs utilisateur·ices existant·es ? Je discute de ces enjeux avec Benjamin Potet, qui y est confronté au quotidien par son rôle de pre-sales chez l'éditeur Make.

Le "tentage de trucs", c'est l'expérimentation d'un projet (en entreprise, en entrepreneuriat, à la cool...) pour itérer rapidement afin de valider (ou non) des hypothèses et aller de l'avant ! Et pour cela, l'utilisation (même modeste) des outils no-code peut donner un sacré avantage... Avec Carole, nous discutons entrepreneuriat, projets, no-code, confiance en soi, méthode ou encore diversité et inclusion, à travers un passage en revue de la vie, la réussite et l'échec de nos projets, entrepreneuriaux ou personnels, petits ou grands !

Les outils no-code permettent de développer rapidement des outils ou applications sans avoir besoin d’écrire de lignes de code informatique. Le souci, c’est que des outils no-code, il y en a beaucoup… A tel point qu’il peut être difficile de s’y retrouver, et de savoir lequel choisir pour quel besoin ! Dans ce 3ème numéro, j'échange avec Xavier Agapé autour des critères à considérer (techniques, opérationnels, humains...) pour constituer son jeu d'outils no-code, qu'il s'agisse de construire un projet en particulier ou de débuter dans le no-code.

Le no-code est régulièrement présenté comme étant inclusif et "pour tou·tes"... Qu'est-ce qu'il en est exactement ? Dans ce deuxième épisode de No-Code Talks, je reçois Manon Mercier pour parler de diversité et d'inclusion (D&I) au sein du no-code en général, et de la communauté No-Code France en particulier ! Au programme : Les notions et éléments essentiels pour comprendre les problématiques de diversité et d'inclusion Les idées reçues et des erreurs que l'on fait tou·te·s en la matière (si si ;) ) L'état actuel de la D&I au sein de la communauté et du mouvement no-code Les moyens d'action que l'on peut déployer individuellement et collectivement pour faire avancer les choses Ou comment faire en sorte d'avoir une communauté de 10 000 personnes qui inclut toutes et tous, quels que soient leur genre, leur origine, leur parcours, leurs connaissances, leur niveaux, leurs ambitions... Un vaste programme !