Femmes, indicrétion, blasphème - 1982

En 2019, Victor Vescovo est descendu, à bord d'un petit sous-marin, à 10927m de profondeur, dans la Fosse des Mariannes. En 2020, nous descendons sans doute encore plus profondément, jusqu'à l'album "Aime-moi". Victor Vescovo était remonté à la surface amer, car il avait aperçu, dans les abysses, un sac plastique, terrible symbole de la pollution humaine galopante. Cet album est comme la planète: difficile à sauver.

Tel un animal mythique que l'on croyait endormi pour toujours, nous sommes de retour, avec chevillée au corps, l'envie d'aller au bout de cette course de fond en 291 étapes. On écoute, pour l'occasion, cet album de 1982, dont on peut dire qu'il existe et que ça fait 6 mois qu'on reporte cet épisode tant il est, au mieux, insipide, au pire, problématique. Un album pas propre donc, mais par lequel il fallait que nous passions, en espérant des jours meilleurs. Si vous aimez le podcast, aidez-nous avec un commentaire 5 étoiles sur Apple Podcast, un bon mot sur votre réseau social favori ou une  recommandation à un ami.  On vous embrasse.

Parce qu'un album n'était pas suffisant pour honorer cette décennie naissante, Julien Clerc nous a offert, également en 1980 donc, Sans Entracte. Composé, et c'est subjectif, bien sur, de 7 chansons au mieux sans saveur, au pire bien puantes, il a toutefois le bon goût de se terminer par une plaisante fantaisie, suivie d'une grande chanson.  Et cette grande chanson, c'est "L'assassin assassiné", écrit par Jean-Loup Dabadie, décédé la semaine dernière, l'occasion parfaite pour lui rendre hommage en disant tout le bien que l'on pense de cette chanson. Si vous aimez le podcast, n'hésitez pas à en parler autour de vous, sur les réseaux sociaux ou directement dans une oreille humaine. On vous embrasse

On détricote l'un des trop nombreux albums éponymes de Julien Clerc. Cet épisode contient des suppositions foireuses sur la véritable identité de Ju et entame la traversée des années 80 au son du clavier-guitare (je ne sais pas si ça s’appelle un clavier-guitare mais vous voyez de quoi je parle). PS: cet épisode a été enregistré il y a déjà quelques jours, avant qu'on apprenne le décès de Jean-Loup Dabadie, auteur prolifique pour Julien Clerc. On en parle dans l'épisode de la semaine prochaine.

Bénédicte n'avait plus ri autant depuis "Hugo Délire" présenté par Karen Cheryl en 1993.  Cet album regorge de bons moments, pour des raisons diverses. On l'a comparé aux Vosges et au Pays des Collines, sans pour autant être trop certains de ce à quoi ressemblent les Vosges (hors Tour de France). On a fait les choses un peu différemment cette fois, n'hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé, voire à laisser un commentaire sur Apple podcasts (ça nous en fera 1 en tout, ce qui n'est pas nul). On vous embrasse à bonne distance et on se retrouve dans les eighties la semaine prochaine!

Le Julien nouveau est enfin là.  Avec Jean-Loup et Bruno, ils nous ont concocté un petit album bien senti qu'on vous décrypte dans cet épisode sponsorisé par la SNCB (vanne, rapport au fait qu'il est à la bourre). Prenez soin de vous chez vous. On vous embrasse.

J'ai vérifié depuis l'enregistrement, on dit bien "Le plancton" et pas "Les planctons", du coup c'est rigolo. Faites attention à vous.

La semaine dernière, nous avons, comme tout un chacun, du se recentrer sur nous-même et sur notre foyer. Dans cette optique, nous avons aménagé un parterre d'herbes aromatiques et délimité les contours de ce qui va devenir un potager. Nous avons constaté que la terre de notre jardin était de bonne qualité. Qu'en est-il de la Terre de France, dont nous parle Julien Clerc, regorge-t-elle de lombrics et sent-elle le bon humus ou bien est-elle pleine de chardons, de ronces et de pots de petits Gervais enterrés et qui ne se décomposent pas? Les réponses, ainsi que d'autres, relatives à des questions que vous ne vous posez pas sont dans cet épisode, enregistré le mardi 17 mars 2020, lors d'une de ces journées bizarres ou tout va vite autant que lentement.

Épisode enregistré avant le confinement. Nous continuons vaille que vaille notre strict voyage dans la discographie de Julien Clerc. Attention, cet épisode contient des bouts de Bénédicte affirmant que c'est "l'album de la maturité" (comme chaque semaine). On vous souhaite une bonne écoute, faites attention à vous, vraiment.

Dans cet épisode de snobinards désapprouvés par le fandom de JC, nous nous penchons sur le quatrième album du chanteur au vibrato de cristal, celui où il a une petite tête désolée sur la pochette. Album de qualité ou torchon destiné à être balancé dans la feuillée de votre prochain camp scout? Vous êtes à 30 minutes d'avoir un avis là-dessus. Si vous aimez le podcast, aidez-nous avec un commentaire 5 étoiles sur  Apple Podcast, un bon mot sur votre réseau social favori ou une  recommandation à un ami.  On vous embrasse.