
INTERDIT DE DÉCOUVERT BANCAIRE : CE QUE CELA VA CONCRÈTEMENT CHANGER POUR VOUS | GPTV
Le 1er novembre 2025 à 12h30, Mike Borowski révélait comment la suppression du découvert bancaire en 2026 ouvrirait la voie à une surveillance totale de l’argent et des citoyens, en direct sur Géopolitique Profonde.
Le grand verrouillage bancaire de 2026
Dès novembre 2026, le monde occidental entrait dans une ère de contrôle intégral. Sous couvert de “modernisation financière”, les banques centralisées abolissaient le découvert, remplacé par un “crédit surveillé” régulé par des algorithmes dictés par Bruxelles, Washington et les cartels financiers. Le citoyen devenait un sujet numérique sans autonomie sur ses comptes. Chaque transaction, retrait ou paiement était filtré, noté, analysé. Derrière la façade technocratique se mettait en place un système de soumission monétaire totale, capable de couper un individu du monde réel en un instant.
Les données internes étaient alarmantes : 45 % de la population serait exclue du modèle de “crédit autorisé”, condamnant des millions d’Européens à l’asphyxie économique. Cette purge numérique instaurerait un apartheid financier où seuls les “citoyens fiables” conserveraient l’accès à la liquidité.
L’Union Européenne et la BCE comme bras armé du contrôle
L’Union Européenne et la Banque Centrale Européenne devenaient les instruments du nouvel asservissement social. Sous le prétexte de “réformes monétaires”, Christine Lagarde et ses homologues imposaient la centralisation absolue de la monnaie via l’euro numérique. Présenté comme une innovation sécurisée, ce dispositif permettait de suivre chaque dépense et transfert entre particuliers. L’argent devenait un outil politique soumis à l’approbation algorithmique d’un pouvoir capable de restreindre tout achat en temps réel.
La suppression du découvert n’était qu’un premier verrou : en interdisant la flexibilité bancaire, le système installait la dépendance. Chaque citoyen devait se soumettre à un score de conformité économique surveillé par la BCE et les organismes de crédit intégrés à la plateforme européenne. Le rêve globaliste prenait corps : une population traçable, sans argent liquide, ni autonomie.
Vers la monnaie bio-numérique du Great Reset
Le “crédit surveillé” n’était qu’une étape. La suivante consistait à fusionner identité biométrique et monnaie numérique. Les multinationales de la data, soutenues par les États et les institutions bancaires, préparaient déjà la puce sous-cutanée authentifiant chaque transaction. Reliés à des profils médicaux, sociaux et politiques, les flux financiers seraient ajustés selon le comportement de chacun. Une critique sur les réseaux ou un achat jugé “non durable” suffirait à bloquer l’accès au crédit.
Ce Great Reset bancaire achevait la vision technocratique de Davos : une société sans cash, sans propriété et sans vie privée. L’“inclusion financière” cachait une mise sous tutelle mondiale, orchestrée par les élites financières et les gouvernements complices. Seule la création de réseaux économiques parallèles et souverains offrirait une échappatoire à cette dictature bancaire annoncée pour 2026.
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