"Je favorise la biodiversité dans mon jardin", Fabienne Sapa

"Le défi des communicants aujourd'hui, c'est de changer les habitudes. Et quand on parvient à transmettre une vision, à susciter une émotion, tout devient possible."Dans cet épisode, je reçois Thomas Parouty, fondateur de l’agence MIEUX, une agence de communication spécialisée dans la RSE.Thomas est un pionnier. Son agence, il l’a lancée en 2009, bien avant que la RSE ne devienne centrale pour les entreprises.Avec Thomas, nous sommes revenus sur son parcours ambitieux : depuis ses débuts au moment où la "RSE" était quasi inexistante, à aujourd'hui où il accompagne ses clients dans la réflexion sur leur portefeuille produits, en passant par la réalisation de campagnes pour des géants comme Suez et Tetra Pak, des campagnes axées sur la pédagogie et l'émotion pour donner vie à des concepts comme l'économie circulaire.Avec Thomas, on a exploré de nombreuses thématiques commele lien entre RSE et rentabilité,la notion de courage dans les choix stratégiquesla manière d’éduquer consommateurs et collaborateurs à de nouvelles pratiquesla relation au tempsCe que j’apprécie particulièrement, c’est la façon dont Thomas rend tout cela tangible. Il illustre ses idées avec des exemples concrets et inspirants, comme les engagements de Bank Australia, les modèles durables de Decathlon, ou encore les initiatives circulaires de Lexmark. Il montre ainsi que la RSE, loin d’être un simple engagement moral, peut aussi devenir une source d’innovation, de rentabilité et de satisfaction.🔗 À écouter absolument pour découvrir ces idées qui bousculent et inspirent.Vous êtes prêt à passer en mode action ? Alors en Route ! 🚗 Notes de l’épisode :le site de l'agence MIEUXHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Je trouve dommage de dénigrer les petits gestes.Certes, on peut se dire qu’ils ne servent à rien.Mais les systématiser a vraiment un effet. On l’a d'ailleurs constaté dans un projet "défi énergies" qu’on a lancé, il y a quelques années, à Bruxelles. Les personnes qui s'y étaient inscrites faisaient déjà des efforts. Et malgré cela, elles ont réussi à diminuer de 15 à 20% leur consommation, simplement en systématisant des bonnes pratiques. Et pourtant il ne s’agissait même pas d’isoler sa maison ou de changer sa chaudière.Et en plus, les effets se répercutaient à d'autres aspects comme l'alimentation ou les déplacements. Parce que, quand on fait un effort dans un certain endroit, on a envie d'être plus cohérent et on a envie de voir ce qu'on peut faire d'autre…”Découvrez le nouvel épisode du podcast En Route !🎙️Nous recevons Jonas Moerman, conseiller énergie chez Ecoconso.be.Ecoconso, c’est une association belge qui encourage des choix de consommation et des comportements respectueux de l'environnement et de la santé.Je vous recommande leur site web : c’est une véritable mine d’informations neutres, sourcées et vérifiées !Jonas travaille chez Ecoconso depuis 25 ans.Avec Jonas, nous avons parlé👉 d’économies d’énergies,👉 d’ordres de grandeurs,👉 d’évolution de la conscience écologique et des lois depuis 25 ans,👉 de psychologie,👉 de comment on fait changer les comportements, les perceptions,👉 mais aussi de thermometre, de bains, de douches…Vous êtes prêt à passer en mode action ? Alors en Route ! 🚗 Notes de l’épisode :le site ecoconsoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“Il y a des situations que je trouve insupportables. Par exemple lorsqu'on doit jeter un équipement qui coûte plusieurs milliers d'euros à la poubelle parce qu'on ne peut pas réparer une puce électronique de 1 ou 2 euros pièce. Parce qu'on n'a pas les bonnes pièces via un fournisseur local ou parce qu'on n'a pas les compétences, les outils ou les éléments appropriés. Je pense qu'on a tous tout intérêt collectivement à réussir à ne plus jeter comme on le fait encore aujourd'hui. C'est bon pour la planète et c'est bon pour l'économie."Cette semaine, dans le podcast En Route !, j’interviewe Fabien Escrihuela.🎙️Il dirige l’activité de SNEF maintenance en France. Comme son nom l’indique, l’entreprise maintient les installations techniques de ses clients.Or maintenir des installations comme le chauffage ou la climatisation, c’est augmenter leur durée de vie, réduire leur consommation, et donc, réduire leur impact sur le climat.Fabien voudrait aller encore plus loin. Il voudrait convaincre ses clients, sa profession et tous ses fournisseurs de privilégier la réparation au changement. Cela signifie prendre un peu plus de temps pour trouver une solution, développer des produits locaux, former les équipes à de nouvelles compétences de réparation...En gros, cela nécessite de créer une véritable culture des enjeux climatiques en interne et avec tout l'écosystème.Un vrai défi. Ce que je trouve génial, c’est que, selon Fabien, les bénéfices sont à la hauteur du défi, à la fois pour la planète, mais aussi pour l’entreprise.Avec Fabien, nous avons donc parlé de maintenance, de coûts, de CO2, mais aussi de fidélisation, de sens du métier, de réindustrialisation de la France.Vous êtes prêt à changer votre vision du monde ? Alors, En Route !… 🚙🍃 !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Voici un nouvel épisode de "Ça s'partage by EN ROUTE", le changement au quotidien par ceux qui le vivent et qui ont envie de partager ce qu’ils vivent.Cette semaine nous vous reparlons vélo.Pourquoi ?Avec 31 % des émissions de gaz à effet de serre, le secteur des transports contribue le plus au changement climatique en France.C'est même le seul secteur qui n'a pas réussi à baisser ses émissions de CO2 depuis 25 ans.Alors, en pratique, comment se déplacer autrement ?Benoît Loosveld s'est remis au vélo pour aller au bureau lorsqu'il est revenu à Bruxelles. Aujourd'hui, le vélo est devenu son mode de transport favori. Pour aider les familles et surtout les enfants à se réapproprier ce mode de déplacement, il anime des "Kidical Mass", des balades à vélo urbaines, ouvertes à tous et en particulier aux plus jeunes, avec pour objectif de promouvoir la place des enfants à vélo en ville et la pratique du vélo dès le plus jeune âge.Il raconte.Vous êtes prêt à passer en mode action ? Alors en Route !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

“On a fait une étude interne : les voitures de fonction électriques sont économiquement plus avantageuses que leurs homologues thermiques quand on regarde le coût total de possession (TCO)”.Cette semaine, dans le podcast En Route !, j’interviewe Pascal Pavard.🎙️Il est en charge de l’électrification de la flotte de EDF.L’objectif d’EDF est ambitieux : d’ici 2030, électrifier 42 000 véhicules.En 2024, ils ont fait 30% du chemin, avec déjà 14 000 véhicules électriques.J’ai retenu de mon échange avec Pascal, 4 enseignements :1️⃣ si on considère le coût total de possession (TCO), il est plus rentable pour une entreprise de passer ses véhicules de fonction à l’électrique que de rester sur du thermique2️⃣ la disponibilité de bornes de recharge en France n’est plus un sujet aujourd’hui3️⃣ pour obtenir l’adhésion des salariés, la véritable clé de succès, c’est de s’intéresser aux cas d’usage et de mettre les bons véhicules en face des bons usages4️⃣ contrairement à ce qu’on peut penser, électrifier tous les véhicules en France est une bonne nouvelle pour le réseau électrique Français : cela va permettre de réduire encore le taux carbone de l’électricité et même les prixLe véhicule électrique vous intéresse ? Vous vous posez des questions ?Je vous invite à écouter le retour d’expérience de Pascal.Vous êtes prêt à changer votre vision du monde ? Alors, En Route !… 🚙🍃 !--- pour aller plus loindécouvrir l'initiative EV100 de Climate Grouplire le communiqué de presse de EDF sur son objectif d'électrification d'ici 2030Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Et si on utilisait nos déchets pour produire nos voitures ?C’est le pari de Forvia.Forvia, c’est le 7e équipementier automobile mondial.Ils produisent toutes les pièces utilisées dans les voitures. Cela va D-des sièges aux éléments de déco intérieure, en passant par les technologies de contrôle des émissions.Il y a quelques années, ils ont cherché comment réduire leur empreinte carbone.Il faut savoir qu'une grande partie de leur empreinte vient des matériaux, en particulier du plastique.Alors ils se sont posé la question : serait-il possible de produire des matériaux émettant moins de CO2 en utilisant d’autres matières que du plastique ?Ils ont fait plusieurs tests : recycler des déchets plastiques, utiliser des matières naturelles comme les coquilles d'huîtres, des sarments de vide, des fibres de bois, voire des fibres de bambou.Ça a marché.Alors ils ont osé lancer une nouvelle activité, Materi’act.Pour Forvia, la création de cette entreprise représente un changement stratégique majeur : remonter dans la chaîne de valeur pour aider à réduire les émissions de CO2 et apprendre des métiers totalement nouveaux.Je trouve passionnant d’assister à une telle transformation d’une entreprise.Dans ce podcast, j’interviewe Rémi Daudin, responsable de la transformation durable de Forvia. Avec lui, on va mieux comprendrecomment une entreprise prend-elle une telle décision ?comment on crée des matériaux qui réduisent jusqu’à 85 % le CO2 par rapport aux matériaux classiques ?comment les constructeurs automobiles, leurs clients, réagissent-ils ?Est-ce plus cher ?Est-ce rentable ?Vous êtes prêts à changer votre vision du monde ? Alors... En route 🚙🍃 !--- pour aller plus loinSite de Materi'actcommuniqué de presse de ForviaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Faut-il faire peur pour faire agir pour le climat ?Pour François Gemenne, co-auteur de rapports du GIEC, non.Dans ce podsnack, il nous explique pourquoi.Ca vous intéresse ? Ecoutez ! Ca ne prend que 3 mn.Et si ca vous passionne (ce dont je ne doute pas 🤪), je vous invite à (re)découvrir le podcast dans son intégralité : « On n’est pas dans une bataille qui serait perdue d’avance »Nos podsnacks 🎙🍿 sont de retour pour l’été ⛱ : tous les 15 jours, le jeudi, vous aurez l’occasion de découvrir 5 minutes de la pensée d’un de nos invités sur le podcast En Route ! 🍃.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Est-il possible de faire évoluer le business model d'une entreprise pour le rendre durable tout en continuant à créer de la valeur ?Pour Fabrice Bonnifet, directeur Développement Durable chez Bouygues, oui, c'est possible.Dans ce podsnack, il nous explique comment.Ca vous intéresse ? Ecoutez ! Ca ne prend que 2 mn.Et si ca vous passionne (ce dont je ne doute pas 🤪), je vous invite à (re)découvrir le podcast dans son intégralité : « Remplaçons le PIB par des indicateurs de bien-être et de bonheur »Nos podsnacks 🎙🍿 sont de retour pour l’été ⛱ : tous les 15 jours, le jeudi, vous aurez l’occasion de découvrir 5 minutes de la pensée d’un de nos invités sur le podcast En Route ! 🍃.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Voici un nouvel épisode de "Ça s'partage by EN ROUTE", le changement au quotidien par ceux qui le vivent et qui ont envie de partager ce qu’ils vivent.Cette semaine nous parlons biodiversité au jardin.Agir pour le climat, ca passe aussi par ce qu’on fait au jardin.Par exemple :préserver la biodiversité en créant, par exemple, des espaces fleuris pour les insectes butineurs, ne pas retourner la terre pour préserver les insectes du sols’appuyer sur les espèces localeséviter la terre nueplanter des arbresMais ça peut faire peur.😰Notamment peur que son jardin paraisse négligé.Fabienne Sapa a repensé son jardin.Elle a créé un jardin qui n’a plus besoin de la main de l’homme.(Ou très peu).Elle témoigne dans le podcast.Vous êtes prêt à passer en mode action ? Alors en Route !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ils ont osé proposer des voitures électriques en autopartage en zone rurale.Et ça marche ! 🚀C’est une nouvelle initiative du Crédit Agricole dans le sud de la France.Proposer aux habitants des voitures électriques de différent gabarit en autopartage.Les résultats sont rapides et assez bluffants :👉 non seulement les habitants passent facilement à l’électrique.👉 et en plus, les véhicules restent PROPRES - contrairement à l’autopartage classique.Leur secret ?Clarisse.Clarisse habite sur place.👉 C’est elle qui apprend aux personnes à conduire la voiture électrique.👉 C’est elle qui les guide dans leur première location.Et comme elle habite sur place, les client.e.s n’osent pas rendre “la voiture de Clarisse” en mauvais état.Ils ou elles auraient bien du mal à la regarder dans les yeux lorsqu’ils ou elles la croisent. 😁Le service a un tel succès queil y en a qui partent même en vacances avec les voituresil y en a d’autres qui ont vendu leur voiture🎙️ Vincent Carré nous raconte les coulisses de ce projet.Il est aujourd’hui Directeur des Services de Mobilité chez Credit Agricole Personal Finance & Mobility. Il a une longue expérience de l’autopartage et du véhicule électrique. (C’est lui qui a lancé chez Renault l’aventure de la voiture électrique puis celle de l’autopartage.)Avec lui, nous avons parlé 👉 autopartage et voiture électrique, évidemment, 👉 mais aussi changement de comportement, persévérance, relations humaines…Vous êtes prêts à changer votre vision du monde ? Alors... En route 🚙🍃 ! Notes de l’épisode :le site web d'Agilauto PartageHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.