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VÊTEMENTS DE LUXE, NOTES DE FRAIS ABUSIVES : LE NOUVEAU SCANDALE D’ANNE HIDALGO ! | GPTV

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Le 18 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski révélait comment Anne Hidalgo, entre vêtements de luxe, voyages à Tahiti et argent public détourné, incarnait une corruption qui creusait le déficit et alourdissait la dette de Paris, en direct sur Géopolitique Profonde.

Anne Hidalgo et le luxe financé par l’argent public

Anne Hidalgo, maire de Paris, a multiplié les dépenses personnelles réglées avec l’argent des contribuables. Entre 2020 et 2024, plus de 84 000 euros ont été engagés pour des vêtements de luxe : robes Dior à plusieurs milliers d’euros, manteaux Burberry hors de prix. À cela s’ajoutent des notes de frais déjà controversées, comme les 125 000 euros de voyages hors de Paris, dont près de 60 000 pour un déplacement à Tahiti, alors qu’elle prétendait être à Paris. Plus de 30 000 euros de hors-forfaits téléphoniques ont aussi été réglés par la mairie. Ces pratiques traduisent une appropriation abusive des fonds publics, alors que la dette municipale atteint 10 milliards d’euros. Ce luxe contraste violemment avec la réalité économique des Parisiens.

L’argument avancé par son cabinet, selon lequel la maire représenterait la culture française via la haute couture, illustre une déconnexion profonde de l’élite. Justifier ces achats personnels comme exigences diplomatiques revient à maquiller une logique de prédation. Le rôle d’un élu est d’administrer les ressources publiques avec rigueur, non de constituer une garde-robe luxueuse financée par la collectivité. Anne Hidalgo incarne ainsi une dérive où la fonction publique devient un levier d’enrichissement personnel, au détriment de l’intérêt général.

Déficit public et prédation politique

Le déficit public ne résulte pas seulement de la conjoncture économique, mais aussi d’abus constants de responsables politiques. Chaque euro utilisé pour des dépenses personnelles d’élus comme Anne Hidalgo gonfle artificiellement la dette. La corruption ne se limite pas à des mallettes de billets, elle s’exprime aussi par un usage systémique des deniers publics à des fins privées.

Cette mécanique engendre un cercle vicieux : les élus creusent la dette, puis imposent l’austérité au nom de la maîtrise budgétaire. Ainsi, la dette n’est plus une nécessité, mais la conséquence directe d’une gestion prédatrice. Quand des élus priorisent leur image à l’étranger, ce sont les citoyens qui paient : impôts accrus, services publics dégradés. Le déficit devient un symptôme visible d’une corruption institutionnalisée.

Le rôle des médias dans l’étouffement

Le silence des grands médias sur ces affaires souligne une complicité structurelle. Alors qu’Hidalgo dépense sans retenue, la presse dominante réduit ces révélations à des anecdotes. Cette stratégie évite tout scandale d’ampleur et protège les figures en place. L’information n’est pas censurée mais reléguée, noyée dans le flux.

Ce silence est éminemment politique. S’il apparaissait clairement que des élus vivent sur fonds publics, l’opinion exigerait des comptes. En neutralisant la portée de ces scandales, les médias maintiennent l’illusion d’une démocratie fonctionnelle, tout en couvrant un système où la corruption affaiblit l’intérêt général.

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