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COLUCHE N’EST PAS MORT DANS UN ACCIDENT : LES PREUVES ! | GPTV

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Le 29 octobre 2025 à 19h, Philippe Saint-Pierre et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Philippe Saint-Pierre est un romancier français dont l’œuvre mêle polar et questionnement spirituel. Après une enfance difficile, il s’est détourné de la religion à 15 ans pour explorer le « monde invisible », adoptant une philosophie de vie axée sur le positivisme ; un « message céleste » l’a poussé à écrire son premier roman, La voix de l’Au-delà. Il publie ensuite Indicibles mensonges, un roman policier qui défend la liberté de pensée et le libre-arbitre. 

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français. Son dernier ouvrage Livre jaune n° 3 – Déconstruction de mythes remet en cause les récits officiels entourant des figures comme Darwin, Churchill, Roosevelt, Gandhi, le Dalaï-Lama — et surtout Hitler — dans une logique de dévoilement historique.

Les morts suspectes des années Mitterrand

Coluche n’est pas mort par hasard. Présenté comme un accident de moto, son décès en 1986 porte les signes d’une élimination. Il dérangeait le pouvoir, moquait les élites, rassemblait les classes populaires. Avec les Restos du Cœur, il incarnait une force incontrôlable.

Quelques mois plus tôt, Balavoine mourait dans un crash d’hélicoptère. Puis Le Luron et Dalida disparaissaient à leur tour. Quatre icônes fauchées en dix-huit mois, sous le règne mitterrandien. Trop de coïncidences, trop de silences.

Coluche préparait un film sur la corruption. Il avait été menacé, surveillé depuis sa tentative présidentielle. L’enquête sur sa mort est expédiée, les témoignages divergents. L’État ne pouvait tolérer un tribun populaire capable d’unir le peuple contre lui. Sa disparition a soulagé ceux qu’il menaçait.

Le lien invisible entre Balavoine, Le Luron et Dalida

Balavoine dénonçait l’hypocrisie politique, appelait à l’éveil. Son crash n’est jamais élucidé. Le Luron ridiculisait les connivences médias-pouvoir. Dalida, proche du politique, subissait des pressions psychologiques, jusqu’au drame.

Ces figures, populaires, libres, transcendaient les clivages. Leurs morts rapprochées marquent une fracture. Dès lors, la France entre dans l’ère du conformisme médiatique. Le hasard ne suffit pas à expliquer leur disparition. Quand les artistes deviennent des porte-voix, l’histoire montre que le système les efface sous couvert de fatalité.

Le système Mitterrand et l’effacement des voix libres

Mitterrand régnait sur une République du secret : réseaux occultes, cabinets noirs, presse sous contrôle. Les dissidents, de tous bords, étaient marginalisés ou discrédités. Coluche, Balavoine, Le Luron, Dalida incarnaient la contre-culture. Leur disparition fut suivie d’une relève docile.

L’indépendance devint suspecte. Cette série noire fut une opération d’assainissement d’un espace trop vivant. Leur culte posthume masque les vérités. On pleure leurs talents, mais on tait les circonstances. L’ère Mitterrand verrouillait la parole. Ceux qui dérangeaient disparaissaient. Les années 1986-1987 marquent la fin d’une France libre.

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