Ep. 96 - Lamp: Hisoyakani (2008)

Altri episodi di "La machine à explorer le temple... de la musique"

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  Ep. 100 - The Kinks: I Go To Sleep (1965)

  20/8/2024

  5:05

  Pas une sérénade mais plutôt une berceuse. "I Go To Sleep", le cadeau rêvé de Ray Davies des Kinks à Chrissie Hynde des Pretenders.
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  Ep. 99 - Ryan Power: The Prize (2013)

  5/8/2024

  4:55

  “S’il y a plus de trois accords, c'est du jazz.” Cette citation de Lou Reed ne s’applique pas à cette chanson à tiroirs, grand prix de la complexité.
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  Ep. 98 - Grandmaster Flash & the Furious Five: It’s Nasty (1981)

  20/7/2024

  5:10

  Dès l’un de ses actes fondateurs, le rap US a pioché dans le funk blanc, preuve que ce genre n’a jamais été un ghetto.
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  Ep. 97 - Le Système Crapoutchik: All What I Have (1970)

  5/7/2024

  5:12

  Professeurs d’anglais, soyez cléments ! Si ce titre fait offense, grammaticalement, à la langue de Shakespeare, il honore la belle pop.
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  Ep. 96 - Lamp: Hisoyakani (2008)

  20/6/2024

  4:53

  Si un groupe japonais mérite un coup de projecteur, c’est bien Lamp et ses mélodies lumineuses.
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  Ep. 95 - Michael Head and the Red Elastic Band: Connemara (2024)

  5/6/2024

  5:29

  Rien à voir avec Sardou ou Nicolas Mathieu, si ce n’est un artiste qui a écrit les lettres de noblesse de la pop britannique des 40 dernières années.
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  Ep. 94 - Black Sabbath: It's Alright (1976)

  20/5/2024

  5:06

  Si Elton John n’a jamais donné dans le métal, Black Sabbath a mis de l’eau dans son vin sanglant en 1976 avec cette ballade sucrée.
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  Ep. 93 - The Sundowners: Always You (1967)

  5/5/2024

  4:53

  Éphémère comme le Summer of Love, la carrière des Sundowners aura été marquée par cette chanson ensoleillée à jouer en toute saison.
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  Ep. 92 - Magazine: Definitive Gaze (1978)

  20/4/2024

  5:16

  En 1978, le groupe à la page, c’est Magazine. Son influence va s’étendre jusqu’à Paris où Taxi Girl s’empare d’un de leurs riffs pour en faire un tube.
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  Ep. 91 - Françoise Hardy: Demain, c’est hier (1973)

  5/4/2024

  5:58

  Une icône de la scène française arrête le temps en 1973. Cette perle méconnue écrite avec Michel Berger se rappelle à nos oreilles.