Le Débrief

Préparez-vous à plonger dans les méandres captivants du marché pétrolier avec notre podcast « Pétrole en ébullition : L'Arabie saoudite mène la danse pour dompter l'incertitude ». Imaginez un instant : l'Arabie saoudite, un poids lourd au sein de l'OPEP, surprend le monde en annonçant une réduction volontaire de sa production de pétrole. Cette décision audacieuse a pour objectif de combattre les soubresauts d'un marché volatil et imprévisible. Mais pourquoi la décision de l'Arabie saoudite de réduire sa production de pétrole, est-elle si cruciale dans le contexte actuel ? Quels sont les enjeux et les défis auxquels l'Arabie saoudite fait face en tant que leader mondial dans le secteur pétrolier ? Quels facteurs externes influencent la stabilité des prix du pétrole, malgré les efforts de l'Arabie saoudite et des autres pays membres de l'OPEP+ ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir …

Le week-end dernier, dans le cadre de la lutte contre l’homophobie, les rencontres des championnats de France de football étaient marquées par l’obligation pour les joueurs de porter des maillots aux couleurs arc-en-ciel. Mais plusieurs joueurs de ligue 1 et de ligue 2 ont refusé de se soumettre à cette réglementation, invoquant notamment des motifs religieux . De quoi relancer une polémique, comme la saison dernière avec Idrissa Gueye, l’ancien joueur du Paris Saint Germain, qui lui aussi s’était absenté, refusant de participer à cette lutte.

Les grandes entreprises dans le viseur de Bercy ? Le ministre des comptes publics Gabriel Attal a annoncé dans une interview accordée au journal “Le Monde” sa nouvelle stratégie pour lutter contre la fraude fiscale. Il souhaite durcir le ton face aux grosses fortunes. Mais son plan dévoilé au grand public hier soir suscite de nombreuses questions : Le plan contre la fraude fiscale du ministre peut t’il vraiment fonctionner  ? Faire payer ce qu’ils doivent aux ultras riches et aux multinationales qui fraudent, est-ce si simple que ça ? Ce plan représente-t-il un risque d’évasion fiscale de la part des plus riches ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu'il faut savoir

13 milliards d’euros, c’est le montant des investissements annoncés à l’occasion du sommet Choose France, qui s’est tenu lundi 15 mai, dans l’optique de créer 8000 emplois dans l’hexagone. Alors que le gouvernement se prévaut d’avoir abaissé les courbes du chômage au plus bas, ce rassemblement de plus de 200 patrons de multinationales étrangères, parmi lesquels Elon Musk, s’inscrit dans cet agenda. Mais alors qu’est-ce que ce sommet ? La France est-elle vraiment attractive pour les investisseurs étrangers ? Quelles annonces ont été faites ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.

L’heure de fin de règne de Recep Tayyip Erdogan a-t-elle sonné ? La réponse, on l’aura à partir de ce dimanche 14 mai, date du premier tour de l’élection présidentielle turque, puis le 28 date du second tour. Erdogan, au pouvoir depuis 20 vingt ans, est candidat à sa réélection pour un troisième mandat consécutif, bien que la Constitution turque l’interdise. Son principal adversaire : Kemal Kilicdaroglu, partisan d’un Etat laïque, semble être en bonne position pour l’emporter. Alors, que défendent chacun des candidats ? Quels sont les enjeux de cette élection ? Quels sont les différents scénarios possibles ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.

Souvent pointées du doigt pour leurs impacts néfastes pour l’environnement, les nouvelles technologies sont pourtant omniprésentes dans notre quotidien. Qui ne possède pas de téléphone portable, d’ordinateur, d’écouteur et de télévisions ? Tous ont un point commun : une obsolescence programmée, c’est-à-dire une durée de vie limitée pour pousser les consommateurs à en changer régulièrement et par conséquent consommer toujours davantage. Un symptôme qui à des effets dévastateurs pour l’écologie… puisqu’il participe notamment à l'entassement des déchets et à l’augmentation du gaspillage des matières premières. Alors, existe-t-il des moyens pour lutter contre ce phénomène ? Quelles sont les alternatives ? Nouvelles technologies et écologie sont-elles vraiment compatibles ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.

Chez C’actus, nous avons l’habitude d’aborder la situation politique dans les pays européens ou dans les grandes puissances mondiales. Mais nous trouvons qu’il est aussi intéressant de se pencher sur des pays dont on a moins l’habitude d’entendre parler, surtout lorsque ceux-ci sont au bord de la guerre civile. C’est pour ça que nous avons décidé de nous intéresser au Soudan, un pays de 45 millions d’habitants dans lequel les conflits se multiplient depuis près d’un siècle, particulièrement frappé par l’instabilité politique depuis 2019. Alors que se passe-t-il ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.

Dimanche 16 avril, les trois derniers réacteurs nucléaires encore actifs en Allemagne ont définitivement cessé leur activité, marquant officiellement la sortie du pays du nucléaire. Un choix en total opposition avec la stratégie française. L’hexagone a parié sur le nucléaire dans son mix énergétique et en fait son énergie d’avenir. Alors, quelles sont les différences entre la stratégie française et allemande ? Pourquoi les Allemands se sont-ils attelés avec autant de dynamisme à sortir du nucléaire ? Cette décision n’est-elle pas contre-productive ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.

« François est prêt, en avant », ce sont avec ces mort que Jean-Luc Mélenchon a conclut son dernier tweet en réaction à un sondage de l’Institut Cluster 17 indiquant que 20% du corps électoral se disait prêt à voter pour François Ruffin. Depuis plusieurs semaines, le député de la Somme semble, en effet, s’imposer comme le visage émergent de la gauche en vue de la présidentielle 2027, si loin et si proche en même temps. Et si c’était lui qui le nouveau porte-voix de la gauche unie ? Dans quelle mesure se différencie-t-il des autres prétendants ? A-t-il réellement ses chances ?

Dimanche 2 avril, les 184 citoyens tirés au sort pour participer à la convention sur la fin de vie, à l’initiative du gouvernement, ont présenté leur rapport final. Un rapport aussi riche que nuancé, dans lequel ils appellent le gouvernement sur une « inégalité d'accès » aux soins palliatifs en France, c’est-à-dire les soins qui visent au confort des personnes malades, souvent en phase de fin de vie. Mais la principale préconisation de cette assemblée citoyenne concerne le développement d’une aide active à mourir, puisque trois conventionnels sur quatre se sont prononcés en faveur de l'ouverture de ce processus en France. Alors concrètement de quoi s‘agit-il ? L’aide active à mourir est-elle une nécessité pour le bien commun ? Pourquoi se heurte-t-elle à des réticences ? Avant tout et pour comprendre, voilà ce qu’il faut savoir.