[BONUS] - Marguerite Lagrave, meurtre sauvage dans les Pyrénées

En 1996, Willy Pomonti est tué, torturé avec une perceuse électrique… Le tueur pensait avoir commis le crime parfait mais 10 ans plus tard, il est confondu grâce aux progrès de la police scientifique.

En 1996, Willy Pomonti est tué, torturé avec une perceuse électrique… Le tueur pensait avoir commis le crime parfait mais 10 ans plus tard, il est confondu grâce aux progrès de la police scientifique.

En 1996, Willy Pomonti est tué, torturé avec une perceuse électrique… Le tueur pensait avoir commis le crime parfait mais 10 ans plus tard, il est confondu grâce aux progrès de la police scientifique.

En 2001, Marguerite Lagrave, 78 ans, est égorgée à Eysus, un village de montagne de 600 habitants. On lui a enfoncé les yeux avec les doigts ! Les gendarmes vont mettre 13 ans à arrêter le meurtrier et son complice…

En avril 1992, Sylviane Kaas, une mère de famille de 40 ans, est retrouvée morte dans sa villa d’Anneville-Ambourville, près de Rouen. La maison a été totalement retournée et des bijoux et des tableaux ont disparu. Après avoir suivi en vain la piste d’un cambriolage qui aurait mal tourné, l’enquête se concentre sur le mari, André Kaas.

En avril 1992, Sylviane Kaas, une mère de famille de 40 ans, est retrouvée morte dans sa villa d’Anneville-Ambourville, près de Rouen. La maison a été totalement retournée et des bijoux et des tableaux ont disparu. Après avoir suivi en vain la piste d’un cambriolage qui aurait mal tourné, l’enquête se concentre sur le mari, André Kaas.

En avril 1992, Sylviane Kaas, une mère de famille de 40 ans, est retrouvée morte dans sa villa d’Anneville-Ambourville, près de Rouen. La maison a été totalement retournée et des bijoux et des tableaux ont disparu. Après avoir suivi en vain la piste d’un cambriolage qui aurait mal tourné, l’enquête se concentre sur le mari, André Kaas.

En 2014, Laetitia Delecluse est tuée à Ramonchamp, dans les Vosges. Le meurtrier a, naïvement, pensé avoir commis le crime parfait …

Pour la presse, ils étaient "les éventreurs de Chicago". Mauvaise appellation, parce qu'ils ne faisaient pas qu’éventrer leurs victimes. Ils découpaient aussi les seins des femmes en vue de cérémonies sataniques.

Pour la presse, ils étaient "les éventreurs de Chicago". Mauvaise appellation, parce qu'ils ne faisaient pas qu’éventrer leurs victimes. Ils découpaient aussi les seins des femmes en vue de cérémonies sataniques.