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À la Une: une mystérieuse maladie dans l’est de la RDC

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Il s'agit d'une mystérieuse épidémie « mortelle », précise Afrik.com, « la maladie est caractérisée par de la fièvre, de la toux et des maux de tête. Elle a déjà causé plusieurs dizaines de décès, principalement chez les enfants ». C’est dans la province du Kwango que l’alerte a été donnée, plus précisément dans la région de Panzi, « une région enclavée proche de la frontière angolaise » ajoute Média Afrique News, qui cite un infirmier selon lequel « les enfants sont les premières victimes, car leur état nutritionnel est souvent très dégradé ». « Ici », ajoute cet infirmier, « les épidémies ne sont pas nouvelles, mais cette maladie frappe très rapidement ». Afrik.com souligne que « les populations locales souffrent d’un manque d’accès aux soins de santé, à l’eau potable et à une alimentation équilibrée, ce qui affaiblit considérablement les systèmes immunitaires et rend la population plus vulnérable aux maladies ». « Pour les habitants du Kwango, le temps presse », remarque Média Afrique News, « sans un soutien rapide, cette maladie inconnue pourrait continuer à décimer des familles entières ».

Critique envers les militaires

Au Niger, la presse s’interroge sur l’arrestation de Moussa Tchangari. « Figure de la société civile, Moussa Tchangari se trouve en garde à vue, au Service Central de Lutte contre le Terrorisme et la Criminalité Transfrontalière organisée »explique Actu Niger, « les charges retenues contre lui incluent des accusations graves : apologie du terrorisme, atteinte à la sûreté de l’État et association de malfaiteurs en lien avec le terrorisme ». L’association AEC Alternative Espaces Citoyens, dont Moussa Tchangari est le secrétaire général, « dénonce des actes rétrogrades d’enlèvement, de séquestration et de traitements cruels, inhumains et dégradants ». AEC « demande la libération immédiate et inconditionnelle de Moussa Tchangari ». De son côté,Mouryya Niger rappelle que cet acteur de la société civile, a toujours été « critique envers les décisions militaires nigériennes depuis l’avènement de celles-ci au pouvoir ». « Il est connu pour son engagement en faveur de la démocratie et des droits de l’homme », ajoute L'événement Niger. « Il a toujours manifesté son opposition à tous les coups d’État survenus dans le pays ».

Réconciliation nationale 

Au Mali, c’est la libération de onze leaders politiques qui fait la Une de l’actualité. « Une libération historique », nous dit Bamada.net qui parle aussi d’un « tournant significatif dans la vie politique du Mali ». « Les onze leaders politiques étaient incarcérés depuis le mois de juin ». Selon Bamada.net, la décision de les libérer a été prise « dans le cadre d’un effort global de détente et de réconciliation nationale ». Pour rappel, ajoute Bamada.net, « les onze leaders politiques, étaient accusés de s’opposer à l’exercice de l’autorité légitime » et de « tenter de troubler l’ordre public ». « C’est une nouvelle étape pour la réconciliation nationale », estime encore Bamada.net, « Elle envoie un message fort de volonté de dialogue et de réconciliation ». « Cette libération », précise Maliweb, « a été rendue possible grâce à la médiation du président de la commission de rédaction de l’avant-projet de Charte pour la Paix et la Réconciliation Nationale, Ousmane Issoufi Maïga, également ancien Premier ministre ». 

Stabilité politique

Le Ghana s’apprête à voter. Election présidentielle, demain. « Un duel au sommet, entre l’actuel vice-président et un ancien chef de l’État », titre Enjeux Africains. « Contraint par la constitution à passer la main après deux mandats consécutifs, l’actuel chef de l’État Nana Akufi-Addo, ne peut plus se présenter. C’est Mahamudu Bawmia, 61 ans, son vice-président depuis 2017, (…) qui portera les couleurs du parti de l’éléphant, l’emblème du Nouveau Parti Démocratique ». Face à lui, plusieurs candidats, dont John Dramani Mahama, « l’un des politiciens les plus expérimentés du pays », « un ex-président sur le retour », précise Enjeux Africains, qui ne s’inquiète pas pour l’avenir, rappelant que le Ghana est « souvent considéré comme un modèle de stabilité politique dans une région secouée par les coups d’état et l’insécurité ». 

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