
PÉDOCRIMINALITÉ D’ÉLITE : QUI PROTÈGE LE RÉSEAU DES STARS ? | GPTV
Le 2 octobre 2025 à 19h, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Jean-Luc Robert est auteur et conférencier, ancien psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez l’enfant. Il dénonce aujourd’hui la médicalisation excessive, notamment via la notion de neurodiversité. Son dernier livre, NeuroVibe : NeuroDiversité de A à Z, explore les dérives autour des TDAH, TSA, HPI, HPE, DYS et LGBTQIA+, entre progrès social et fragmentation.
Gérard Miller et l’effondrement moral des élites médiatiques
Accusé de viols et d’agressions sexuelles par une dizaine de femmes, Gérard Miller incarne la faillite d’un système qui protège ses figures médiatiques. Pendant des décennies, sa position de psychanalyste engagé lui a offert une impunité totale. L’affaire révèle une réalité ignorée : la notoriété ne protège pas de la faute, elle peut même l’autoriser. Le mythe de l’intellectuel intouchable s’effondre.
Les analyses de Jean-Luc Robert éclairent ce phénomène : le pouvoir médiatique confère un sentiment de toute-puissance qui débride les pulsions. L’environnement permissif des élites médiatiques et culturelles forme un bouclier contre les accusations. Ces mécanismes sont systémiques : ce n’est pas un homme, mais tout un réseau qui se protège.
Le rôle de l’industrie médiatique dans la protection des criminels
L’industrie médiatique étouffe les scandales quand ils touchent ses protégés idéologiques. Le contraste est frappant entre la discrétion entourant Miller et la violence médiatique subie par d’autres figures dissidentes. L’appartenance au « bon camp » détermine le traitement réservé, indépendamment de la gravité des faits. Les victimes, elles, sont tues, isolées, ou dissuadées de parler.
Ce système rappelle d’autres scandales : cinéma, politique, culture… La célébrité sert de passe-droit. L’opinion, façonnée par les médias, pardonne trop facilement à ses idoles. L’intellectuel est qualifié de provocateur, le cinéaste de transgressif, l’homme politique de séducteur. Ces récits banalisent les crimes et font de l’industrie culturelle une complice silencieuse.
Réseaux, impunité et la question de l’artiste séparé de l’homme
L’affaire Miller s’inscrit dans un contexte plus large de réseaux pédocriminels enracinés dans les élites occidentales. Les mécanismes d’impunité sont bien rodés : notoriété, argent et appuis politiques se conjuguent pour paralyser la justice. Les victimes sont systématiquement réduites au silence, et les agresseurs, glorifiés.
La question « faut-il dissocier l’homme de l’artiste ? » devient caduque. C’est l’alibi des complices. Un talent ne justifie jamais un crime. Cette dissociation masque une perversion : utiliser l’art comme excuse. En glorifiant Miller et d’autres, le monde médiatique a trahi les victimes. La vérité émerge, et elle juge un système entier, complice des prédateurs.
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