
JUAN BRANCO SUSPENDU : LE SYSTÈME SE DÉCHAÎNE POUR LE FAIRE TAIRE | GPTV INVESTIGATION
Le 27 octobre 2025 à 17h, Mike Borowski assistait au procès de Juan Branco et l’interrogeait directement sur la justice, le pouvoir et la peur du système, des échanges qui brisaient le récit officiel, sur GPTV Investigation.
Le système veut faire tomber Juan Branco
Pourquoi le système veut-il faire tomber Juan Branco ? C’est la question qui revient chez ceux présents à son procès au Conseil de l’Ordre. Beaucoup parlent d’un « procès stalinien », d’une mise en scène destinée à faire taire un avocat trop dérangeant. La sanction : neuf mois de suspension pour violation présumée du secret d’enquête. Mais ceux qui ont assisté à l’audience de 9 h à 19 h y ont vu la volonté d’écraser une figure qui combat le système macroniste sur le terrain du droit.
Dans les couloirs, l’ambiance évoquait une chasse aux sorcières : visages fermés, murmures d’exaspération, silence médiatique. GPTV Investigation était seul à couvrir l’événement, aucune autre rédaction, même alternative, ne s’étant déplacée. Ce silence organisé semblait partie intégrante du dispositif. Beaucoup y ont perçu une persécution assumée.
Un procès aux allures de purge
Ce procès disciplinaire a révélé l’hermétisme d’un système verrouillé. Les témoignages évoquent une décision écrite d’avance, un théâtre judiciaire où la défense ne pouvait qu’attendre la condamnation. Les mots “procès stalinien” ont fusé. Le droit disciplinaire a servi de prétexte pour atteindre un avocat défendant des causes jugées subversives.
Des avocats venus d’Afrique ont pris la parole pour défendre Juan Branco. Leur présence a suscité des réactions glaciales, certains témoins évoquant un racisme latent. Branco, avocat de figures panafricanistes comme Kemi Seba, Nathalie Yamb ou Ousmane Sonko, cristallise le rejet d’un système qui refuse d’être contesté depuis le Sud global. En le frappant, c’est tout un réseau de résistances internationales qu’on tente d’affaiblir.
Le symbole d’une répression politique
Au-delà du dossier disciplinaire, c’est une guerre de symboles. Juan Branco n’est pas seulement un avocat suspendu : il devient le miroir d’un régime punissant la dissidence. Ceux qui l’ont vu sortir du Conseil de l’Ordre parlent d’un homme seul, mais debout, conscient que sa sanction nourrit le récit de son combat. Sa lutte contre le système mondialiste prend une dimension historique : celle d’une résistance judiciaire.
Les passants interrogés évoquent un sentiment de déjà-vu. Certains y voient la preuve que le droit est devenu un outil de répression politique. D’autres parlent d’un divorce entre les élites et les citoyens réfractaires à leur domination. Dans les sanctions, les silences médiatiques et la stigmatisation des voix dissidentes, un schéma se répète : faire taire ceux qui osent défier le pouvoir.
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